Les solutions bancaires digitales ont connu un énorme boom ces dernières années. Avec des nouvelles offres comme N26, Lydia, Revolut ou plus récemment Apple, la concurrence est rude et tout le monde veut sa part du gâteau.
Facebook, Amazon, Apple… tous investissent dans les nouveaux moyens de paiement digitaux. Et il y a de quoi faire, entre l’explosion des cryptomonnaies et les solutions de paiement instantanées, les consommateurs commencent à avoir beaucoup (trop ?) de choix pour payer et placer leur argent. Et évidemment, cela attire les gros poissons comme Uber.
Toujours dans un objectif de diversification, Uber se lance désormais dans la finance avec Uber Money. Ce service de « portemonnaie numérique » permettra notamment d’améliorer les systèmes de paiement avec ses chauffeurs.
Avec ce pari, Uber souhaite fidéliser encore plus ses conducteurs et ses clients en donnant une solution tout en un. L’objectif de Uber et de créer une solution logique de diversification à travers ses différentes plateformes : vous pouvez, avec votre argent Uber, manger, vous déplacer, etc.
Une fluidité de paiement augmentée pour les « salariés » Uber
Une fluidité de paiement augmentée pour les « salariés » UberLa plus grosse avancée concerne certainement les chauffeurs Uber et livreurs Uber Eats. Grâce à cette nouvelle offre Uber Money, ils seront payés instantanément après chaque course (versus un paiement hebdomadaire aujourd’hui). Un moyen donc de fluidifier les mouvements dans l’écosystème Uber.
Un nouveau portefeuille numérique
Avec Uber Wallet, la marque souhaite proposer à ses clients et ses chauffeurs un moyen plus simple de gérer et transférer son argent, de consulter son historique de dépense et de revenu. Un moyen également de donner un nouveau souffle a sa carte de crédit déployée il y a 2 ans, qui permet également de disposer de remises lors de dépenses sur les applications Uber (Uber, Uber Eats, Jump, etc).
En plus, Uber proposera aux chauffeurs Uber un crédit de 100 euros pour leur permettre de faire le plein d’essence avant de commencer une course.
Attention cependant, ces services peuvent ne pas être disponible tout de suite en France. Des tests seront d’abord fait aux USA pour ensuite être déployés un peu partout dans le monde.
