Voila une opération de relation presse plutôt intéressante que nous avons pu vivre cette semaine à la rédaction de Dans Ta Pub.
Afin de promouvoir son nouveau spot pub « Sound From the Inside » qui sortira le 7 mai à l’occasion de la finale Messieurs de Roland Garros, Perrier a imaginé un dispositif RP un peu spécial. Pour nous présenter le film, la marque a décidé de ne pas envoyer uniquement le film sur une clef USB, mais de nous faire participer et de nous faire imaginer nous même le film.
Avec d’autres blogueurs, notre mission était donc d’écouter la piste audio du film et de rédiger le script le plus probable.
Vous trouverez juste en dessous la vidéo qui vous permettra de vous aussi vous faire une idée de l’opération, et notre proposition de script ci-dessous. Si jamais vous vous sentez inspiré, vous pouvez vous aussi proposer votre script en commentaire !
« Tout d’abord, la direction artistique de ce film est réalisée en animation, aux couleurs pastel et à forte luminosité.
Le film commence sous terre, dans une galerie souterraine à l’ambiance humide. Cette galerie est jonchée de stalactite et stalagmite, sur lesquelles ruisselles des goutes d’eau.
La caméra se met à plonger dans le lac souterrain, nager dans un tunnel aquatique pour ensuite ressortir sur terre et tracer un parcours filmé en une prise.
Pendant ce parcours, on traverse différents univers, comme la salle d’un restaurant où les convives s’amusent et le brouhaha est constant. La caméra continue d’avancer à une vitesse soutenue, pousse les portes du restaurant et s’engouffre dans une boite de nuit où la fête bat son plein.
Toujours filmé en une prise, la caméra s’engouffre ensuite dans un zoo extraordinaire, où un lion rugit et des singes sautent de lianes en lianes tout en poussant des petits cris. La caméra se dirige ensuite dans la rue, évite les voitures et se retrouve sur une place publique où à lieu un fabuleux feu d’artifice. Le feu d’artifice symbolise enfaite l’ouverture de la bouteille Perrier par une femme, qui s’empresse de la boire.
On se rend compte à la fin du film que la caméra est une goute d’eau qui vit des moments extraordinaires avant d’être mise en bouteille, pour encore mieux rafraîchir au moment opportun. »
