Après un premier round remarqué en mars, Betclic remet une pièce dans la machine avec une nouvelle salve d’affiches, toujours orchestrée par l’agence Buzzman, et toujours portée par cette signature qui fait mouche : “Quand on est joueur, on joue”.
Une formule qui ne parle pas uniquement de paris sportifs, mais qui célèbre surtout un état d’esprit : celui de ceux qui osent, même dans les petits gestes du quotidien. Et avec cette deuxième vague lancée le 7 avril, la marque continue de creuser un territoire de communication qui lui colle à la peau : décalé, culotté et terriblement humain.
Des situations du quotidien pour célébrer les vrais joueurs
Boire un lait périmé, utiliser la carte du compte commun pour une paire de sneakers, chanter la Marseillaise dans un bar argentin… Voilà le genre de “coups de poker” que Betclic met à l’honneur dans ses nouvelles affiches. Des paris anodins, mais audacieux. Des gestes qui, sans changer le monde, en disent long sur ceux qui les font. Des petits moments de bravoure à l’échelle individuelle, que la marque élève au rang de statement : “le jeu, c’est partout.”
Et c’est précisément là que la campagne fait mouche. Elle ne parle pas qu’aux parieurs aguerris. Elle s’adresse à tous ceux qui ont un jour fait un choix un peu risqué, un peu absurde, mais pleinement assumé. Une manière habile d’élargir la définition même du mot “joueur”, en la reliant à une posture mentale plus qu’à une pratique.
En misant sur l’identification et le sourire, Betclic crée un vrai lien émotionnel avec sa cible, bien au-delà des seuls amateurs de sport ou de paris. On est dans une logique de branding intelligent, qui valorise une attitude plus qu’un produit.
Un territoire de marque fort, cohérent et durable
Depuis plusieurs années, Betclic s’affirme comme l’un des acteurs les plus cohérents du paysage publicitaire dans le secteur des jeux et paris en ligne. Avec l’aide de Buzzman, la marque a su construire un univers bien à elle : moderne, populaire, mais jamais simpliste. Cette nouvelle vague d’affichage vient renforcer un storytelling déjà bien installé, en l’étendant à des scènes de la vie de tous les jours. Résultat : une plateforme de communication solide, qui permet à la marque de se renouveler sans se renier.
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La force de cette campagne réside aussi dans son exécution visuelle minimaliste et percutante. Chaque affiche fonctionne en une fraction de seconde, grâce à un texte court, une situation absurde mais plausible, et une accroche qui résonne immédiatement. C’est rapide, drôle, et ça reste en tête.
Côté média, le plan de diffusion est à la hauteur : les visuels sont déployés partout en France, sur des formats variés (2m², 3m², arrières de bus, 12m² en métro, etc.), assurant une présence forte dans l’espace urbain, là où les “joueurs du quotidien” évoluent justement.
Une prise de parole qui renforce le lien avec la communauté
En plaçant l’audace au cœur de sa stratégie de marque, Betclic crée une proximité sincère avec sa communauté. Car au fond, cette campagne ne parle pas de jeu d’argent, elle parle de prise de risque assumée, de flair, de panache. Ce sont des valeurs qui résonnent avec le public cible, mais aussi avec une génération plus large en quête de liberté, de fun, et de petits frissons contrôlés.
Et c’est précisément ce virage-là que réussit Betclic : faire de sa communication un miroir culturel, dans lequel chacun peut se reconnaître. En valorisant les joueurs sous toutes leurs formes – ceux du terrain comme ceux du quotidien –, la marque se positionne comme un complice, plutôt qu’un simple opérateur.
Avec cette nouvelle vague signée Buzzman, Betclic continue de tracer sa route sans fausse note, en restant fidèle à son ton, à sa cible et à sa philosophie. Une preuve de plus que le vrai jeu, c’est de savoir se réinventer… sans jamais perdre son esprit.
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